mercredi 21 novembre 2012

Le weekly planet #55

Après un mois de disette, le weekly planet revient enfin vous chatouiller les yeux et les oreilles. Il faut croire que c'est la crise ici aussi. Et pourtant, il y en a des choses à commenter ces derniers temps.
J'enfonce une porte ouverte, ok. Mais ce nouveau spectacle de Guignol vaut le coup, n'est-ce pas?








Et si tout cela n'était, au final, qu'une histoire de coupe de cheveux?



Cette question fait débat tout de même. Les mecs, allez-y mollo avec le gel. Tout ça c'est de la faute des footballeurs.





Et puisqu'on parle de footballeurs, il faut arrêter aussi de leur demander de parler pendant de longues minutes à propos d'actes tout à fait banals dans leur quotidien de sportifs. Quelqu'un peut dire, par exemple, à Didier Deschamps, que lorsqu'il s'exprime, même un caféinomane hyperactif pourrait s'endormir?
Non messieurs. Arrêtez de trop parler, ça nous fatigue.

Et recevez plutôt ce conseil de la très explicite Dee Edwards.


Instead of making conversation darling hold me tight
I wanna be thrilled by your caress beneath the pale moonlight
I need your love so madly I long for your affection
If I could only get your eyes to look in my direction...





Vraiment, c'est dur de se comprendre. Alors, heureusement qu'il y a yahoo! actualités pour nous aiguiller, nous les femmes. L'article est à lire ici.





Serge Gainsbourg était bien meilleur, lui, pour parler des relations homme-femme.

Je pourrais aussi citer Smokey Robinson, "You really got a hold on me".





Bon, et si on faisait un peu d'histoire?
Parce que les ratonades laissent la place aux "femenades" ces derniers temps. Où a-t-on vu que dans un pays civilisé, des mecs sautent à pieds joints en rangers sur des femmes à moitié à poil?
Ben, ici, en France.
Et ce dont on parle peu finalement, c'est de l'histoire des "Antifa, Chasseurs de Skins". Une fierté nationale.
Le documentaire de Marc-Aurèle Vecchione est à voir ici:





Le weekly planet, ou l'art de passer du coq à l'âne.







Ça ne nous fait pas peur tout cela, ça ne me fait pas peur. Car comme je l'ai déjà dit ici:

One love à ceux qui réfléchissent encore.