J'en viens au sujet du jour (enfin du mois, du trimestre même, car mes billets se font rares... C'est la crise pour moi aussi, plus de biffetons dans mes poches!!!) : comment garder la patate, mais pour de vrai ?!
En regardant cette photo.
Ou en regardant les choses du bon côté. La salade de patates peut aider (cf: photo). Les beaux jours aussi y sont pour quelque chose. Allez quoi, on va pas se laisser abattre. Si ça se trouve ce qui nous attend est pire. J'ai commencé un bouquin ce matin, et dans les premières pages j'ai lu un truc très philosophique que je m'empresse de vous transmettre : "Nous traversons le présent les yeux bandés. Tout au plus pouvons-nous pressentir et deviner ce que nous sommes en train de vivre. Plus tard seulement, quand est dénoué le bandeau et que nous examinons le passé, nous nous rendons compte de ce que nous avons vécu et nous en comprenons le sens." C'est de Milan Kundera, un chic type.
Voilà, on est peut-être morose en ce moment, mais y'a t-il vraiment de quoi rester au fond du gouffre? N'y a-t-il rien dans vos vies qui ait une importance telle que malgré toutes les tempêtes extérieures vous êtes heureux lorsque vous entrez en contact avec cette chose (ou cette personne, ne soyons pas vexant)?
Avoir la patate, ça ne tient à pas grand chose. Cette photo vous le dit: commencez déjà par rire. L'humour c'est salutaire. Et puis de toutes façons cette crise, il vaut mieux en rire: les inégalités s'accroissent dans le monde? Les plus riches s'en mettent plein les poches de peur qu'il n'y ait plus rien bientôt? Vous vous êtes faits avoir? Et alors?!
Moi je m'en fous, ce soir je me fais en entrée une soupe de courgettes et de roquette, puis des lasagnes au saumon, poireaux et brousse, et enfin une tarte aux myrtilles. Et j'emmerde la crise et tous les magazines féminins.
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