Bonjour, est
ce que vous avez la carte de fidélité du magasin ? Vous devriez la
demander!! Le weekly de ma chère Bambi, c’est rentable dès la première lecture !
Excusez-moi,
j’ai du mal à me défaire de ces deux jours passés comme caissière à Jardiland.
L’intérim c’est
quand même génial ! C’est comme un Vis ma Vie constant…Vis ma Vie d’aigri
a la poste, Vis ma Vie de prostituée aux galeries Lafa**** ou encore Vis ma Vie d’esclave à Orches***.
Mais quand est-ce qu’on me laissera vivre ma vie ?
L’équipe de TF1 comme toujours,
soucieuse de mon épanouissement a encore une fois trouvé la solution à mon
problème !
Et on dit tous merci à TF1 !!!!
Du rire, des
larmes, de la joie tout comme dans la vraie vie mais surtout de la baise, de l’alcool, de
la trahison et des coups de pute !!! Oui oui, les relations sociales sont
parfois tellement compliquées !!
Mais aimons-nous les uns les autres !! Les
cathos sectaires, qui passent en ce moment dans mon quartier accompagnés de deux enfants
« déguisés » avec une cravate et un costume trop grand pour eux,
viennent délivrer cette belle parole de dieu !
Amen
Et si on
allait passait le lundi de pâques à la ZAT pour oublier tout ça ? (ndlr: Zone Artistique Temporaire)
ZAT :
Rassemblement de bourgeois bohèmes.
Quelle
surprise de croiser au milieu de tant de profs, d’artistes et d’acteurs de la
culture montpelliéraine, des enfants tellement loin de ce monde où tous se
masturbent et trouvent tout GENIAL au nom de l’art !!
Et oui cette année la
ZAT c’était au quartier Celleneuve ! J’ai adoré l’analyse de ces petits êtres purs sur
« la déambulation ». Je cite : « y’a le clochard avec
sa grosse valise qui arrive ». Merci pour m’avoir fait autant marrer
et merci d’avoir rendu cette après midi plus légère !
C’est vous les poètes,
c’est vous les artistes !
Comme dirait Booba : «Sur le plus haut
trône du monde, on est jamais assis que sur son boule »
Sur
ces belles paroles je vous laisse avec le plaisir d’avoir pu partager quelques
instants de mon week-end en espérant que vous y avez pris autant de plaisir que
moi et sinon : ce n’est pas grave, je ne vous aime pas non plus !
A ma maman, Crousti